Enfin son tour arriva, il était a 2 pas des grandes portes d'entrée. Mais les gardes semblaient extrèmement efficaces et méfiants. Apparemment pas de soldat facilement corruptible mais beaucoup de haut gradés étaient présent à l'entrée. Certaines charettes avait été refoulée car les gardes avaient trouver de la marchandise suspecte, et les propriétaires conduits au poste de garde. De plus ils posaient beaucoup de questions. Meladius essayait de répondre le plus normalement du monde afin de ne pas attirer l'attention pendant qu'un sergent examinait le contenu de la charette.
Votre nom ?
Marc Lebon, monseigneur.
Que vennez-vous faire ici ?
Juste essayer de faire fortune en vendant mon bazar.
Qu'avez-vous a déclarer ?
Rien de bien important monseigneur. Des lampes, des couvertures, divers tissus d'orient, des pôteries, mon arbalèthe, un casque et une épée.
Soudain le garde sorti de la roulotte avec le casque en forme de loup et le sabre de cavalerie. Il montrait à son collègue l'arme qui semblait bien lui plaire. Il lui fit remarquer que celle-ci était parfaitement équilibré et efilée comme un rasoir. Puis ils remarquairent l'inscription sur le pomeau du sabre. Le casque de loup les intriga encore plus. Il regardèrent attentivement l'homme et apperçurent un morceu de son armure de cavalerie sous son manteau.
J'ai trouvé ceci dans le Sudra... Un négociant en arme me l'a vendu pour une bouchée de pain... Si vous voudriez bien me les rendre je pourais poursuivre ma route...
Les gardes échangèrent un regard avant de lancer :
Ceci ne sont pas les accessoires d'un marchand mais ceux d'un guerrier. Tu es un espion ! GARDES SAISISSEZ CET HOMME !
En un clin d'oeil la charette fût encerclée par des hommes en arme. Mais Méladius, maintenant démasqué, risqua le tout pour le tout. Il se jetta sur le premier garde avant que celui-ci ai eu le temps de dégainer son arme et dans la mélé, en lui assénant un coup de poing en pleine figure, il lui arracha des main son sabre et commença à attaquer. Il y eut quelques échanges avant que de la point il traversa le bras du 2° garde. blessé il ne put se défendre quand Méladuis l'assoma avec la crosse de son sabre. Entre temps les autres gens d'armes avait eu le temps de se regrouper pour lui faire face. Il eu juste le temps de se mettre sous l'arche d'une porte afin de diminuer le nombre d'attaquant qui lui faisait face. Il bloquait de taille et d'estoc et répondait par des piqués réussisant à éborger un autre garde. Méladius se battait sourrir aux lèvres regouttant à la joie du fracas des batailles quand il senti une vive douleur dans sa nuque. Un garde était arrivé par derrière et lui avait asséné un coup de bâton sur la tête. Il ne perdis pas connaissance mais vacilla suffisement pour se faire mettre à terre et encercler par la garde Estharienne. Il essaya de se relever mais 3 lances plantées devant son visage l'en dissuadèrent. 2 hommes le relevèrent brutalement tandis que celui qu'il avait blésé au bras arriva devant lui.
Chien tu va être présenter de suite à notre régente qui décidera de ton sort. Tu va voir ce qu'il en coûte de blesser un garde d'Esthar.
Méladius ricanna devant l'homme en armure.
Imbécile vous aurier mieux fait de me tuer quant vous en avier l'occasion.
Sur ces mots les gardes l'emmenairent sous bonne escorte jusqu'au palais.