Lecture, tranquille?

Dans ce cloître rayonnant, un jour de printemps ou le soleil illuminait tout ce qu'il touchait, s'avançait un homme sombre, un homme apparement agé, habillé dans des habits noirs mais qui dénotaient pourtant une bonne facture, mais dont on ne parvenait pas a voir le visage, on aurait dit qu'une écharppe de brume le lui couvrait, cet homme, que personne dans le cloître n'avait déja vu s'avançait rapidement, s'appuyant de temps en temps sur sa canne, seul indice, avec ses cheveux blanc, de son âge avancé.

L'homme n'était autre que Gaitos, mais personne ici ne savait qui il était, en effet, la majeur partie de ceux qui le regardaient était des elfs, races impure que Gaitos haissait, mais il n'était pas la pour jouer les fanatiques, pas aujourd'hui du moins, il était fatigué car il avait travaillé toute la nuit sur un sort et qui pour finir se révélait efficasse, encore une corde a son arc se disait il.

Il venait au cloître pour y achever la lecture d'un manuscrit rédigé dans une langue ancienne, dont les rares personnes a encore la parlée étaient toutes plus vieille que Gaitos, savoir destiné a être caché et a le rester, mais, le manuscrit que Gaitos avait emporté avec lui avait une grande valeur, et c'était pourquoi il l'avait déja copié chez lui.

Il s'installa donc sur un banc et posa sa canne non loin de lui avant de fouiller dans son sac a la recherche du dit manuscrit, il l'en sortit et toujours précautionneusement se mit a le lire, étrangement, personne ne semblait se rapprocher de lui, il faut dire, que Gaitos dégageait une aura singulière pour tous ceux a même de la percevoir, et qui influençait ceux qui n'en étaient pas capable, et donc, le visage toujours masqué par une écharpe de brume, il lisait, seul, car personne ne semblait vouloir s'en approcher, mais ce qui était sûr c'était que dès l'instant ou il était entré dans le cloître, la tension dans l'air y était monté d'un cran.

Et bien que l'on ne voit pas son visage, Gaitos souriait, oui, il souriait même a pleine dent, il était sûr que quelqu'un allait venir lui parler, mais il ne savait pas qui, ni quoi, d'ailleurs il s'en fichait, tout ce qui l'intéréssait pour l'instant s'était de lire, le reste viendrait après...Sans doute.

[libre]

La voiture s'arrêta devant le vestibule qui menait à terme vers le cloître. Le vestibule était volontairement une pièce au sol entérré et à l'allure sombre. Elle devait marqué un tampon entre le vie active de la cité et la quiétude qui régnait derrière les murs du Cloître. En définitif, je descendais l'air un peu plus frais. J'avais sommeillé un peu pendant le cour voyage et cela avait eu la vertu de me détendre et de retirer cette impression de trouble qui m'avait étreinte à la salle du Trône. Le Cloître Rayonnant allait me remettre totalement d'aplomb, c'était certain. Il avait la vertue étonnante de faire disparaître les plus terribles blessures spirituels ou physiques.

Je traversais donc le vestibule et entrais dans le cloître. Les guérisseurs et patients habitués à recevoir ma visite journalière me saluèrent avec le sourire. Je prenais toujours trés à coeur ce moment que je passais auprès des malades et ou j'utilisais mon aura pour leurs donner courage et force pour guérir. Même dans les journées les plus harrassantes, je prenais toujours le temps de passer.

Néanmoins, je ne venais normalement pas si tôt. Je préferais apparaître dans les heures les plus sombres de la nuit ou les coeurs flanchaient plus facilement. J'y avais davantage d'utilité. Je passais à coté d'une guérisseuse que je conaissais et lui demandai en chuchotant:

Pourriez vous envoyer un messager prévenir le Fort Daenor que je ne rentrerais pas de la journée, que je resterais au Cloître et qu'ils envoient tous les messagers me voir, ici? Dites leurs aussi de bien veiller à rester discret s'ils viennent en ce lieux.

Le silence était une régle impérieuse en ce lieu et seul le chuchotement était permit. Une fois mes instructions délivrés, je me mettais face à l'une des arcade qui donnaient sur le jardin. Le rayonnement de celui-ci caressait mon visage avec douceur. Je poussais un soupir de soulagement et fermais les yeux. Je laissais alors mon Aura fatigué d'avoir soutenue ma Reine dans un moment de faiblesse se nourrir du rayonnement bien faisant de la magie animiste qui régnait en ce lieu. Mon pouvoir était étroitement lié à l'energie des dieux. Je l'avais vite appris.

A cette instant, mon Aura coulait sur moi comme une rivière d'une lumière incandescente et aveuglante pour les yeux qui étaient capablent de la discerné. Elle s'écartait peu à peu de moi pour voyager en volute dans le Cloître pour se nourrir de la lumière de celui-ci et jouer son rôle de catalyseur, offrant une nouvelle force de volonté à toutes les personnes qui en avaient besoin. Alors tous s'arrétérent un instant comme pour inspirer un air nouveau et pour remercier les Dieux.

Ce fut à cette instant que je ressentis un léger picotement caractéristique et désagréable qui parcouru ma nuque. Mes yeux s'ouvrirent et allèrent directement à l'endroit du trouble. Je vis alors un homme habillé de sombres tissus, son visage caché par une ombre qui n'avait rien de naturelle.

De toute façon, ce voile avait sans doute un raison d'elle et il aurait été discourtois d'essayer de le perçer, voir même dangereux.

Je m'attardais la blancheur de ses cheveux et sur sa silhouette. Il n'y avait pas l'ombre d'un doute, c'était bien un Homme. Mais une aura sombre qui semblaient avaler la lumière laissait présager que cet Homme n'était pas du commun des Mortels.

J'avais oublié de prendre garde et de vérifier que mon rituel n'allait gêner personne dans ce lieu. Il fallait avouer que les gens de l'Ombre était rare à venir ici. La lumière du Cloître suffisait souvent à les indisposer. Cela voulait dire une chose sur la personne qui se trouvait assit là. C'est que son obédience pour l'Ombre ne s'accompagnait pas d'un haine de la Lumière. Etais-ce une bonne chose? Disons que cela donnait un aperçu de l'intelligence de cet être et peut être de sa tolérance.

Quoi qu'il en soit, qu'il soit intelligent ou non? Qu'il soit maître de l'ombre ou non? Cela ne changeait en rien la faute que j'avais commise. Comme à mon habitude, je ne fis pas d'excuse, jugeant la démarche plus incommodante pour tout le monde que véritablement nécéssaire.

Je n'ai pas vérifier si mon rituel pouvait incommoder les personnes présentes dans ce cloître. Les gens de votre obédience sont rare, Maître de l'Ombre, à venir ici. C'est dommageable car ils sont les bienvenus. J'ose espéré que mon rituel ne vous a pas indisposer?

Cela faisait déja un petit temps que gaitos lisait son manuscrit, et comme a son habitude, il se fascinait du savoir des anciens, il se fascinait des arcannes perdue que ces derniers avaient redécouverte, il était tout bonnement abasourdit.

Hors, donc, cela faisait bien une bonne heure que Gaitos lisait lorsqu'une sensation pour le moins désagréable, mais pas douloureuse lui fit lever la tête de son manuscrit, on aurait put le comparer a une mouche tournoyant autour de la tête de quelqu'un. Dans la tête de Gaitos cela impliquait une chose, un magicien de la lumière, potentiellement dangereux, mais qui ne semblait pas avoir de mauvaises intentions, c'était déja sa.

Gaitos ne fut pas surpris lorsqu'un elf vient a lui pour justifier son erreur, mais il le fut néanmoins en constatant qu'il s'agissait ni plus ni moins du seigneur Echtelion, il sourit un instant et aggitta la tête de droite a gauche, décidément, il fallait croire qu'il ne rencontrait que peu de gens commun ces derniers temps. Il réagit aux paroles d'Echtelion et posa son manuscrit sur le banc avant de répondre d'une voix légère

"Nullement, cela ne m'a pas dérangé...Un rituel comme celui-là n'est pas un danger pour les gens de mon expérience...Mais je ne crois pas que tous partagent votre point de vue, en général les Maîtres de l'Ombre sont très mal vu...Pour ne pas dire hais...Ainsi va le monde...Souvent ce que le commun des mortels ne comprends pas, il le hais et cherche a le détruire..."

Gaitos sourit un instant, même si il s'agissait d'un elf, il n'avait pas envie de provoquer une bataille, surtout pas en ces lieux, et surtout pas face a un mage, ce qui dans l'état actuel de Gaitos se serait sans doute solder par une défaite lamentable, et puis, d'un côté, il pourrait converser pour une fois il ajouta alors

"Je me nomme Fundel...Gaitos Fundel...Pardonnez moi si je ne vous montre pas mon visage, il est assez ravagé et effrayant comme cela...Je ne tiens pas forcément a ce que ces gens meurent d'une crise cardiaque..."

Gaitos rit un instant, un rire qui pourtant n'avait pas toute la force que Gaitos voulait lui donner. Pour la première fois depuis longtemps, Gaitos sentait les limites de sa chaire, il savait que si jamais il ne prenait pas quelques jours de repos, il finirait mal, mais pourtant, il ne pouvait s'arretter, il ne devait pas, il devait avoir plus de pouvoir, toujours plus, si il voulait que cela marche...

Il était vrai que les superstitions regrettables qui circulaient sur les personnes "différentes" provoquaient souvent les drames les plus terribles. Je me rappelai vaguement une époque lointaine ou les Elfes été les persécutés. Une époque si lointaine que je devais être le seul à en avoir un vague souvenir. Etrangement, je ne compris pas ce qu'il y avait de drôle dans les paroles du maître de l'Ombre. Néanmoins, je fis un sourire courtois pour nullement le courroucer. Gaitos Fundel était le Grand Prêtre d'une des religions Humaines présentent à Esthar. J'avais pris connaissance de son nom en lisant divers rapports concernant les religions Esthariennes. Les Animistes étaient tolérant, je l'étais donc naturellement pour la divinité Humaine même si l'expérience m'avait appris l'ephémérité des Religions Humaines. Poursuivant dans mon élan de courtoisie, je me présentais.

Je suis le Comte Echtelion d'Ylnea, régent du Quartier Est. Je suis trés heureux de rencontrer l'un des plus important dirigeants des cultes Humains. Et je renouvelle le souhait de vous voir vous ou vos suivants profiter de la quiétude de ce lieu. Nous, serviteurs des Grands Dieu-Animaux somme connus pour notre tolérance envers les autres religions. Vous serez traités avec tous les égards du à votre importance aux yeux de la communauté Humaine.

Gaitos sourit l'espace d'un instant, voir un elfe qui lui assurait d'être bien reçu en ces lieux, alors que la religion de Dyntha était connue pour être l'une des plus intolérante était quelque peu risible, mais soit, il en était tout a l'honneur de l'elfe d'être tolérant, bien que ce ne soit pas le cas de Gaitos.

Gaitos s'inclina légèrement et regardit le comte dans les yeux avant de se redresser et de baisser le regard, il était exténué décidément et si jamais on avait vu son visage, on aurait put y lire bien des chose, a commencer le nombres de jours depuis lesquels Gaitos n'avait plus dormit, il dit cependant a Echtelion

"La communauté humaine...Déja moi je ne suis pas sûr que l'on puisse parler d'une réel communauté...J'ai l'impression que l'espèce humaine est destinée a disparaître...Comme une poussière chariée par le vent..."

Cela ne ressemblait pas a Gaitos de parler comme cela mais, les mots étaient prononcé, et on sentait dans la voix de Gaitos une profonde lassitude, et peut-être est-ce a cause de cela, ou peut-être a cause de la grande fatigue qu'il éprouvait, mais, le sort de Gaitos se rompit de lui-même.

L'écharppe de brume s'évapora en même temps que les dernières forces magique de Gaitos, et il porta la main a son visage pour éviter d'être aveugler par le soleil, on pouvait voir désormais son visage, profondément marqué par la fatigue et par la lassitude, les yeux anormaux de Gaitos, totalement noir et ces rides qui formaient d'étrange replis sur le visage du vieillard, décidément, il aurait du dormir plus souvent ces derniers temps.

Gaitos finit néanmoins par redresser la tête avant de s'appuyer contre le rebord du banc en se tenant les tempes et en gémissant, décidément, il n'allait vraiment pas bien, et il avait surtout un peu abuser de la magie ces derniers temps....

Un sourire compatissant se formait sur mes lèvres. Combien de fois avais-je tenu du miracle, la survie de la race Elfique? Je fus interrompu par la disparition du voile qui protégeai le Maître de l'Ombre. Je remarquais alors l'âge avançé de l'homme avec qui je parlais.

Les vieillard Humains avaient toujours impréssionés les Elfes, muant souvent leurs étonnements en pitié pour la courte espérance de la race Humaine. Les Elfes traitent souvent les vieillards avec une grande pitié pour le fardeau qu'il portait. Un fardeau dont les Elfes n'avaient jamais connu le terrible poids.

Mais pour ma part et pour les Elfes très agés, nous sommes arrivés par la force des années et des épreuves passées à ressentir ce poids terrible, car à notre stade, c'est le monde entier qui a changé. Les montagnes se meuvent, les forêts se déplacent, les jardins disparaissent, les eaux viennent et s'en vont.

Voilà que Gaitos semblait pris d'une faiblesse. Outre le temps, la fatigue se lisait facilement sur son regard. Une fatigue qui me semblait bien au delà du raisonnable. Son regard me frappais un instant dans ma réfléxion. Ses yeux noirs n'étaient certes pas les premiers que je voyais. Des souvenirs désagréables de batailles dans des lieux oubliés contre des êtres aux yeux vides me revenaient vaguement.

Voulez-vous pas que je fasse amener un guérisseur?

Demandais-je d'un air inquiet.

Gaitos se sentait faible, faible mais vivant, il aurait du faire plus attention, dans la magie, tout a un cout, et il l'avait dépassé aujourd'hui, de peu, mais il l'avait dépassé, mais maintenant que son corps cessait de crier a cause de l'énèrgie qu'on lui avait voler et qui était déja en quantitée bien insufisante de l'organisme de Gaitos.

Ce dernier fixait l'elf en face de lui, et il sourit lorsque ce dernier lui demanda si il voulait un guérisseur, non, personne n'aurait pu le guérir, tout ce qu'il pouvait faire c'était se reposer et reprendre des forces, se reposer et attendre que la vieillesse le terrasse alors il dit simplement

"Non...Ils sont incapable de soigner le mal qui me torture ainsi...Et j'ai besoin de repos, beaucoup de repos...Ma magie ma vidée de mes forces...c'est tout..."

Gaitos n'avait vraiment pas l'air bien, comme toujours lorsqu'il s'épuisait trop, et puis surtout, il n'était pas vraiment au bon endroit, ici, avec tout ces gens qui s'épanouissaient a la lumière, lui aurait tout donné en cet instant pour être dans son lit, a l'ombre, loin de l'agitation et s'endormir, pour toujours...Mais il devait tenir, tenir encore et toujours, lutter pour sa vie, au contraire des elfs, encore une des raisons pour lesquelles il les haissaient...

Je comprenais tout à fait. Cela expliquait mon hésitation à lui proposer mon aide. La Lumière et l'Ombre était deux forces antagonistes, elles se dévorent l'une l'autre. Dans ce cas, c'est la lumière du Cloître qui devait dévorer l'Ombre du maître. Néanmoins, même si la Lumière semblait interdire que je l'aide, la courtoisie me permettait au moins de sauver les apparences.

Permettez au moins que je vous ramène chez vous dans ma voiture?

Peut être devrais-je pensée à créer un Cloître plus sombre ou se reunirait des personnes de l'Ombre pour se soigner et se remettre. Malheureusement, je pensais que ce genre d'amenagement, mal compris, deviendrait vite impopulaire. C'était dommageable car je n'aimais pas vraiment arrangé un partie plus que l'autre. Le passé m'avait appris qu'un déséquilibre des forces menaient souvent au excés de l'excédente.

Le monde n'avait jamais été aussi simplement que les gens semblaient s'evertuer à croire. L'Ombre ne representait pas le mal et la Lumière le bien. C'était trop facile et trop manichéen comme façon de voir les choses. Le Bien et le Mal différaient selon les points de vues et chacun se battait pour ce qui lui semblait être bon de se battre. En cela, mes ennemis n'était que des adversaires en désaccord avec ma vision du monde et non pas de mauvaise personne. Cette idée importante était importante car elle permettait souvent de voir plus clair dans la plupart des situations, de pouvoir raisonné et s'ouvrir à cette personne pour un échange plus constructif, et surtout éviter le conflit.

Lentement, mais surement, Gaitos se releva, il était fatigué, arrasé même, mais il s'appuya sur sa canne pour ne pas tomber, il regardit Echtelion dans les yeux et sourit un instant, après tout, il fallait bien qu'il rentre chez lui, et il ne se sentait pas le courage de le faire seul, il dit alors

"Cela m'aiderait beaucoup...En effet...Cela ne vous gêne pas?"

Gaitos regardit un instant le cloître, il aimait bien l'endroit, mais, c'était trop lumineux pour lui, il était presque aveuglé quand il regardait le sol et surtout, la lumière semblait le dévorer de partout, comme si Gaitos avait été une infection que le cloître s'empressait d'attaquer et d'affaiblir.

Lorsque gaitos s'était levé, quelques personnes avaient tourné la tête vers lui, mais, aucunes n'avait deviné la nature de Gaitos, heureusement, beaucoup de personnes considéraient encore la lumière comme le bien et l'ombre comme le mal, ce qui n'était pas fondamentalement faux pour Gaitos, car l'ombre était plus propice a la douleur et a la souffrance, mais cette vision était pourtant obselète, en effet, les gens de l'ombre se terraient aujourd'hui et très peu osaient encore sortir de chez eux.

Néanmoins Gaitos le faisait, en grande partie parce qu'il était respecté en raison de sa fonction, et que l'on attribuait a la déesse, a la très sainte, les pouvoirs qu'il possédait, et bien que ce soit faux, Gaitos ne déniait pourtant pas, tenant trop a sa vie que pour vouloir que quelqu'un y mette un terme rapidement, il dit alors a Echtelion

"Cela vous dérange si l'on part maintenant, je ne suis pas sûr que tous ici apprécient ma présence...Et mon lit me serait utile...J'habite dans le quartier ouest..."

Je réprimais un élan qui me poussait à l'aider à ce lever. Quelque chose m'aurait dit que l'Homme l'aurait peut être mal pris. Je sentis les regards tournés vers nous et poussa un soupir silencieux. J'imaginais facilement ce qui se chuchotait dans mon dos et je n'avais nul besoin de prêté l'oreille.

Pas du tout, puisque je vous le propose.

Dis-je avec un sourire léger. Quand il remarqua l'ambiance légérement éléctrique, je haussais les épaules d'un air innoncent.

Venez, je vais faire appeler ma voiture.

Nous passâmes dans le vestibule ou tous regardait l'étrange binome que nous formions quitter le Cloître. Quand nous fûmes sorti, l'ambiance de la ville parut assourdissant à des oreilles habitués aux calmes. La voiture arriva juste devant nous et j'ouvris la porte à Gaitos qui monta. Je le suivis et ordonna au cocher de nous emmener à la maison du Grand Prêtre de Dyntha.