Au bout de 2 jours de vol Méladius se retrouva au dessus d’une plaine qu’il n’avait jamais vue auparavant. C’est a ce moment précis, et a bout de nourriture, que le gyrocopthère tomba en panne de carburant. Méladius essaya de le faire planner quelques instants mais l’amas de métal vole sans carburant aussi surement qu’une pierre ne nage dans un lac. Il fut obligé d’effectuer un atterrissage forcé et écrasa, sans grands dommages, l’appareil à proximité d’un bois. Une fois ces esprits revenu à lui il équipa son cheval et se dirigea vers le sentier tout proche.
Il regardait autour de lui, tous semblait à l'abandon comme ci personne ne venait jamais entretenir cette forêt. Serait-il ci loins de civilisations que celles-ci ne vennaient jamais ici ?
Pendant toute la durée du trajet Meladius se sentis épiée. Comme observé par une présence. Il se retourna plusieurs fois sans jamais voir personne. Son cheval aussi était nerveux et se cabra plusieurs fois avant que son maître ne le ramène à la raison. Il garda une main sur sa lance feu tous le long du trajet jusqu'a l'orée du bois. La nuit commençait à tomber quand surjit de nulle part une ombre apparue devant le cavalier chaos. Son cheval se cabra une fois de plus et désarçonna son passager. Méladius n'eut pas le temps de se relever que l'ombre était sur lui. C'était une femme, du moins en apparence, d'une grande beautée mais qui n'avait rien d'humain. Son regard était d'un noir profond et l'on pouvait deviner une intelligence qui dépasse l'imagination. Son corps parfait était seulement recouvert d'un fin draps transparent. il flottait au dessus du sol comme un phanthôme. Elle ouvrit la bouche laissant apparraitre des crocs tel un vampire. Mais contrairement à ce qu'il attendait elle ne lui arracha pas la gorge et le regarda longuement avant de lui dire.
Tu asssss de la chhhhanccce Baron. je devine en toi de grandes chosessssss et un destin fabuleux..... Un jour tu auras besoin d'aide pour arriver à tes fins. Un jour tu auras besoin de mon maître.... Ce jour là viens me voir et je te conduirais à lui.
Puis elle disaprue aussi vite qu'elle était vennue dans la forêt. Meladius ne traina pas, enfourcha sa monture et repris sa route à vive allure laissant derrière lui ce lieu maudit.